Étienne Belin est un musicien, auteur et compositeur français parisien.
Bien que bercé dès son plus jeune par les cassettes audio de ses parents, univers éclectique composé de Bob Dylan, Jean-Louis Aubert, Alain Bashung, Bon Jovi, Serge Gainsbourg, Robert Charlebois et bien d'autres, il ne se lance dans la musique que tardivement à seize ans. C'est à cet âge, découvrant les musiciens de rues et de bars anglo-saxons qu'il revient écouter sans cesse, qu'il se lie d'amitié et partage la scène avec eux.
Il suit en parallèle de son apprentissage musical des études d'art dramatique aux Cours Florent qui le conduiront à créer avec des amis la pièce de théâtre "La Fabrique" mise en scène par Hugo Horsin (pièce primée) mélange de comédie musicale et théâtre clownesque inspiré des Deschiens, Jacques Tati, Jerry Lewis et Charlie Chaplin.
Il compose également la musique de deux autres pièces "Nous seuls savons ce que nous avons souffert" réadaptation de "La Cantate à trois voix" de Paul Claudel, montée par Laura Aubert et "Fantasio" d'Alfred de Musset (pièce primée), montée par Antoine Raffalli.
À sa sortie du cours Florent, diplôme en poche, il oscille entre tournées avec les comédiens de "La Fabrique" et concerts dans les pubs parisiens où il a finalement lâché le rôle de spectateur pour devenir acteur.
Pendant plus d'une dizaine d'année il continue de se produire sur les grandes scènes théâtrales, dans les petits bars et la rue en tant que musicien/chanteur, cumulant alors plus d'un millier de représentations à ce jour. Parfois accompagné de musiciens rencontrés dans les scènes ouvertes, parfois accompagnant des musiciens de renom tels que David Bartholomé en Belgique ou Siobhan Wilson lors d'une tournée en Écosse, ou parfois seul avec sa guitare, son harmonica et s'équipant de deux percussions aux pieds, il s'inscrit dans la lignée des one-man-band.
Ne limitant plus sa localisation à Paris il est appelé à jouer aux quatre coins de l'Hexagone ainsi qu'en Grèce, Autriche, Espagne, Écosse, USA ou encore Belgique.
Il se découvre lors de ses voyages, un amour intense pour la musique celtique, la folk nord-américaine et le rock britannique.